Une meilleure qualité de vie

Témoignage 11 -Une meilleure qualité de vie

Je m’appelle A. Dubé et je suis âgée de 68 ans. J’ai été infirmière pendant 25 ans en plus de garder ma mère malade pendant plusieurs années, jusqu’à ce que je sois moi-même malade. Mes problèmes ont commencé en 1970 après l’ablation de la vésicule biliaire. Suite à cette opération, à la 9e journée j’ai fait une hémorragie majeure qui a occasionné une phlébite, une thrombose et une névrite à la main droite. J’ai dû faire de la physiothérapie pendant six mois.

En 1975, je barrais de partout et on me diagnostiquait de l’arthrose généralisée. En juin 1978, j’ai subi une chirurgie pour une triple facture de la cheville droite. On a diagnostiqué de l’ostéoporose sévère et on m’a installé une plaque de métal dans la cheville.

Le 26 novembre 1980, à la suite d’une tumeur maligne on m’enlevait le sein gauche. J’ai eu de la radiothérapie et ces traitements ont été très pénibles pour moi. Je devais garder le bras immobile ce qui était difficile à cause de la faiblesse de mon bras. Puis on a voulu continuer avec la chimiothérapie, mais j’ai refusé ce dernier traitement ainsi que l’ablation du deuxième sein plus tard. J’ai pris des médicaments très forts pour essayer de soulager les douleurs dont: Codéine 30 combiné avec tylenol, Darvon co (pour ceux qui ne connaissent pas, c’est aussi fort que la morphine). Je prenais aussi des antibiotiques car je faisais fréquemment des otites et des sinusites.

En 1983, les médecins me donnaient 6 mois à vivre. Désespérée et ne voulant pas mourir, je me suis tournée vers la chiropratique car je n’avais plus rien à perdre. Cela n’a pas été facile au début. J’ai eu des réactions chocs aux ajustements chiropratiques, mais je crois que dans mon état c’était normal. Et aujourd’hui le 15 mai 1999, je suis toujours là!

Voici l’état dans lequel je me trouvais en 1984, avant de commencer mes traitements chiropratiques. J’avais l’épaule gauche barrée, ce qui m’empêchait de lever le bras que je devais souvent porter en écharpe. Je ressentais des brûlures et des douleurs intenses presque 24 heures par jour. On ne pouvait faire aucune compression, ni me toucher, c’était continuellement comme des coups de poignards et des épines. Je passais des nuits sans dormir, la douleur étant trop intense et je barrais tous les matins.

Je peux maintenant lever mon bras jusqu’en haut et j’ai plus de force dans la main. La nuit, les brûlures et douleurs sont moins fréquentes dans le dos et la tête, et la respiration ainsi que le sommeil sont meilleurs. C’est beaucoup moins douloureux et au lever je ne barre plus. Durant la journée, je demeure un peu plus longtemps en position debout. Ce qui m’oblige à m’asseoir ou me coucher, c’est la fatigue. Les maux de tête et de la nuque s’améliorent, mais persistent encore en arrière de l’oreille gauche. L’insensibilité à la tête, à la figure et à tout mon côté gauche est beaucoup moins prononcée. La sensation de semi coma que je ressentais parfois a complètement disparu. Les idées sont plus claires ainsi que la concentration. Maintenant au début d’une douleur, je m’étends, me détends et me repose. J’ai cessé graduellement de moi-même de prendre les antibiotiques.

J’ai débuté mes traitements chiropratiques avec Dr Christian Beaudry. Il m’a énormément aidé et de plus, il m’a fait découvrir l’amour inconditionnel. Je lui en serai toujours reconnaissante. Depuis son départ de Montréal en novembre 1992, je continue mes soins avec Dr Jasmin Pitre qui lui aussi a fait beaucoup pour moi. Avec son aide, ma vie intérieure a été transformée par l’amour inconditionnel (de soi-même) et par l’action. Cet amour qui nous fait découvrir la vraie lumière du coeur et qui est toujours vainqueur.

Au début des traitements chiropratiques je fonctionnais à 20%, et aujourd’hui en 1999, je fonctionne à 80% et mon quotidien est plus agréable. Je continue régulièrement mes traitements chiropratiques qui ont ajouté des années à ma vie et en ont amélioré la qualité. Merci à la chiropratique, à Dr Beaudry et à Dr Pitre de m’avoir améliorée.

A. Dubé.